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La saga va donc continuer. La mairie continue dans le choix de faire prédominer la politique la plus politicienne sur la légalité administrative et sur l'éthique : rappelons que le licenciement de Goudet avait été jugé comme justifié par le TA.

Comme l'explique l'article, la question que va de nouveau examiner le TA est donc celle-ci : Goudet a-t-il bénéficié en 2015 d'un renouvellement de son contrat, et dans ce cas il tombe dans la foulée de celui de 2014 ? Ou bien s'agit-il d'un nouveau contrat, après avoir suivi toute la procédure, vacance de poste, appel à candidatures, etc, et dans ce cas effectivement le contrat de 2015 a des chances d'être valide.

Avec des bémols toutefois : le temps réel passé comme directeur du Méliès est-il compatible avec les obligations universitaires ? Qu'en est-il du niveau de salaire pour un aussi petit nombre (officiel, limite à ne pas dépasser pour l'université) d'heures ? Soit 2 500 euros par mois pour 90 heures par an selon le journal.