Comme relevé par la presse, le cru 2020 des municipales reflète un éclatement sans précédent des gauches : une mise en sommeil des logos, pour de bonnes ou mauvaises raisons – des « dissidences » qui affectent tous les partis – de multiples « listes citoyennes », réelles ou camouflage de parti ou d’ambitions personnelles. Le « local » est déterminant, et on ne peut rapprocher des situations où il s’agit de battre le RN ou la droite (dont LREM) et celles où, droites et RN absents, des primaires à gauche sont nécessaires pour la restructurer par l’écologie

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